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L’ALACD remercie ses partenaires financiers :

Sport, Physical Activity and Recreation Council (SPARC) logo

Le Comité activité physique et loisirs (CAPL)

Nous remercions également nos partenaires collaborateurs dans ce projet :

Affiliés provinciaux et territoriaux

Partenaire pour la traduction : Résonance Stratégies

Le comité de pilotage de ce projet était composé des personnes suivantes :

Alyssa Grimes

Université Queen’s

Amy E. Latimer-Cheung, PhD

Université Queen’s, Chercheuse principale

Janet Lawson, PhD

University of Manitoba

Mike Arthur

l’Alliance de vie active pour les Canadiens et Canadiennes ayant un handicap

Sarah Ane

Parks and Recreation Ontario

Taryn Barry

l’Alliance de vie active pour les Canadiens et Canadiennes ayant un handicap

Zainab Naqvi

Université Queen’s

Reconnaissance des peuples autochtones

Nous reconnaissons les relations uniques et durables qui unissent les peuples autochtones aux territoires sur lesquels sont situées les municipalités à travers le Canada. Nous encourageons toutes les personnes qui utilisent ce guide à s’informer sur les Premières Nations, les Inuits et les Métis qui ont traditionnellement habité ces terres.

Bien que ce guide vise à soutenir les responsables des loisirs dans la création d’activités physiques et récréatives inclusives, il se peut qu’il ne réponde pas entièrement aux besoins particuliers des communautés des Premières Nations, des Inuits et des Métis. Nous encourageons donc les utilisateurs à établir des relations avec les communautés autochtones locales afin de faire progresser la réconciliation.

La Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées

En 2010, le Canada a ratifié la Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées (2008), s’engageant à garantir l’égalité et la non-discrimination des personnes handicapées dans tous les aspects de la vie, y compris l’éducation, les loisirs et les activités culturelles.

Ce guide s’appuie sur l’article 30, qui affirme que les personnes handicapées ont le droit de participer, sur un pied d’égalité avec les autres, à la vie culturelle ainsi qu’aux loisirs, aux sports et aux activités récréatives.

Note sur l’intersectionnalité

Selon le Centre pour la justice intersectionnelle (CIJ), l’intersectionnalité désigne la manière dont différents systèmes d’inégalités — liés notamment au genre, à la race, à l’origine ethnique, à l’orientation sexuelle, à l’identité de genre, au handicap, à la classe sociale et à d’autres formes de discrimination — se croisent et interagissent pour créer des réalités spécifiques et complexes d’oppression.

L’intersectionnalité reconnaît que ces systèmes complexes d’oppression doivent être compris dans leur contexte historique et en lien avec les normes sociales et les systèmes actuels. Ces formes d’oppression ne peuvent être analysées séparément (Université de Guelph, s.d.).

Ce guide a été conçu en tenant compte de l’intersectionnalité, en reconnaissant que les personnes handicapées peuvent avoir des identités multiples et faire partie de plusieurs communautés marginalisées.

Accessibilité du texte

Ce document est rédigé dans un langage accessible. Si ce format ne répond pas à vos besoins en matière d’accessibilité, veuillez nous contacter à l’adresse info@ala.ca. Nous prendrons les dispositions nécessaires pour vous proposer une version adaptée.

À propos de l’utilisation de l’écriture inclusive

Ce document utilise l’écriture inclusive, notamment à travers l’usage du point médian (ex. : participant·e·s, animateur·rice·s, décideur·euse·s) et du pronom “iel” — une forme inclusive qui regroupe “il” et “elle” pour désigner une personne sans spécifier son genre.

Par exemple, au lieu d’écrire « il est responsable du suivi » ou « elle est responsable du suivi », on écrira : « Iel est responsable du suivi ».

Ce choix linguistique reflète notre engagement envers l’inclusion de toutes les personnes, quelles que soient leur identité de genre ou leur expression de genre.

L’Alliance de vie active pour les Canadiens et les Canadiennes ayant un handicap (ALACD) a pour mission de promouvoir la participation pleine et équitable des personnes handicapées à la vie active. L’utilisation d’un langage inclusif fait naturellement partie de cette démarche : elle permet de reconnaître la diversité des expériences humaines et de créer un espace plus accueillant pour chacun·e.

Ce guide s’adresse à une variété de personnes œuvrant dans les milieux municipaux, communautaires et associatifs. Il était donc important pour nous d’adopter une forme d’écriture qui reflète les valeurs d’équité, de respect et d’accessibilité qui fondent le travail de l’ALACD.